Red Lounge - première soirée

Le barman regarde le petit homme, perplexe, hausse les épaule et s'exécute, placant sur un cabaret circulaire une tasse de café, un sucrier, une cuillere et un demi-citron dans une petite soucoupe.

- Du lait, Monsieur?











Pénélope accueillit la Prince avec l'étiquette requise et un plaisir évident. Elle lança quelques coups d'oeil dans la direction de La Freddezza, puis dans la direction de smiley, qui semblait ruminer quelque chose dans son coin. Elle regarda à nouveau sa Sire et vint pour parler quand le couple d'anciens vinrent se présenter. Elle recula de deux pas, retournant à son poste pour laisser à la Prince plus d'espace pour discuter avec ses sujets.










Bertha qui était seule dans son coin, en voyant la Prince arriver, se leva et se tourna vers elle, tête inclinée pour lui faire montre de son respect et de sa soumission. Elle ne bougea plus, conservant cette position durant un moment.












Simon, constatant l'arrivée de la Prince, s'excusa avec gallanterie aux dames en sa compagnie et se dirigea avec véhémance vers Fianna, les bras ouverts, prêts pour une accolade. Arrivé à sa hauteur, il baissa les bras, finalement ne poussant pas les familiarités d'une accolade que son geste laissait pourtant présager. Il fit une révérence et salua la Prince.

- Quel Bonheur! de vous compter parmi nous ce soir, Votre Grandeur. Vous avez fait bon voyage depuis l'Irlande?

Un sourrire espiègle s'afficha sur les lèvres d'Ophélie en entendant le téléphonne de Phillipe.
Elle détourna la tête vers le regroupement en bas, laissant une certaine intimité à Phillipe.
Quand celui-ci lui offrit de se joindre à lui pour être présentée au Prince, elle pris un instant
de réflexion. Puis se leva de mouvement élégant.

Il me fera très plaisir de vous suivre Monsieur Devreaux.

Elle laissa Phiilipe prendre les devants.

*tout de un coup tout le monde affluait vers elle,ce qui ne manqua pas de lui plaire,meme se jeune nosferatu qui malgré son clan avait des manieres tres respectable,elle se tourna vers lui et lui dit*

-Vos compliment me font grand plaisir Squid croyez moi,nous auron a discutez plus tards,jai une proposition pour vous qui tomberais pile dans vos cordes.

*Puis elle se tourna ensuite vers le couple d'anciens*

-Croyez moi,n pas vous apportez plus de precision m'afflige egalement,mais certye,je vois pleind e nouveau visage que il me tarde deja de connaitre,alors nous parleron plus en privé plus tard vous voulez bien mes amis?

*voyant que Penelope se retire,elle lui fait signe que elle va allez vers elle dans quelques instant,le devoir quoi,puis elle se tourna finalement vers Simon,ce cher Simon,toujours aussi leche derriere,son visage etait presque devennue de marbre a son approche des trop particulieres,mais se radoucis quand il change de tactiques,et lui repondit alors*

-Mon voyage tout comme mon sejours et mon retour furent comme a chaque fois un moment fort de bon gout tres cher,merci de vous en informez.

*un regard vers Bertha,ce que cette feme etait immense,et paraissait plus virile que certain hommes de sa ville,elle sourie en coin,savourant deja la rencontre,puis reposa ses yeux sur ceux qui lui parlais,plus tard les presentation*

Trop pudique pour offrir son bras, Philippe offrit néanmoins un sourire à la dame, avant de commencer à descendre les marches pour aller rejoindre la nuée d'immortels qui se trouvaient plus bas.

Beaucoup d'entre eux avaient commencé à entourer la Prince, comme des abeilles sur du miel. Philippe se tourna vers Mademoiselle Durocher, l'air penaud :

- Il semblerait que d'autres aient eu la même idée que nous, chère dame. Mais, en attendant, je pourrais néanmoins vous présenter au Prévôt.

Un essaim de convives se forma autour de la Prince. Jacky et Franco se retirèrent momentanément du lot, histoire de laisser les nouveaux se présenter.

Au fond d'elle-même, Jacky espérait ardemment que la Prince ne leur annoncerait point une autre mauvaise nouvelle.

La freddezza était tombée soudainement dans une transe et y était resté longtemps... Elle n'avait pas porter attention au arrivée dans la salle... On aurait dit qu'elle était en pleine conversation. Une conversation mentale? C'était difficile à dire mais elle était totalement inexpressive et ne bougeait même pas le petit doigt. Seuls ses paupières qui s'étaient fermées frémissaient de temps à autres....

Sans crier gare, elle revient à elle avec l'arrivée de la Prince. La suivant de regard, elle lui adressa un sourire sympathique, vraiment sympathique. En guise de salutation, elle pencha sa tête avec le plus grand des respects mais laissa toutefois Fianna se faire assaillir par tous ces gens qui mourrait d'envie de la saluer. Après tout, la Prince n'était pas en public très souvent aux dernières nouvelles...

Non, la personne qui avait attiré l'attention de La Freddezza était Kate... Cette chère Kate! Voilà si longtemps... Visiblement, elle ne l'avait pas reconnu. Elle s'arrangea pour que le regard de l'assamite croise le sien. Elle la salua d'une main très particulière... Certes, elle était gantée mais Kate comprenait très bien la signification de ce salut. Katarina lui fit un clin d'oeil avant de se lever pour aller la rejoindre après s'être excuser en russe auprès de son collègue colonel.

- Bonsoir très chère... Certes... Je ne vous avais pas averti de mon retour... ni de mon changement de look. Quoi tu en dis...

Katarina partit à rire, un rire à glacer les veines comme chaque fois qu'elle avait rit dans cette soirée. Elle semblait définitivement de bonne humeur mais rare était ceux qui la connaissait réellement et qui pouvait percevoir ce fait.... Bref, son rire lugure emplit la salle alors qu'elle tendit la main à Kate pour lui faire une solide poignée de main.

- On va avoir beaucoup à se raconter je crois bien... Des heures de plaisir vraiment... Tu aurais du venir en Europe....

Les yeux de Katarina brillèrent à ce moment et Kate les reconnu aussitôt. Les mêmes yeux qu'il y a 10 ans, celle de La freddezza...

*Kate se leva pour vennir aussi serré la main de la Tzimisce dans un sourire*

-Il me fait plaisir de vous revoir egalement......jai eu oui dire de ce qui se tramais la bas,mais croyez que ma tache ici me prennais ennormement de temps.
je suis heureuse que tu ne te cache plus,car nul ne devrais vivre caché,et jattend avec grande impatience,le oment de notre discution croyez moi.

*Kate lui rend le sourire,elle aussi en avais long a lui dire*

Le jeune être pustuleux se sent tout de joie lorsque le cher barman commence enfin à remplir un plateau des ingrédients si difficilement demandés.

Il commence à...
* Reni... *
Et se retient... Sa Majesté lui parle. Ses yeux s'agrandissent, son sourire est béat, Squid est en admiration devant sa Souveraine. Il hoche la tête pour confirmer la demande de rendez-vous de la sublime Dirigeante quand il reporte son attention sur le plateau sur le comptoir.
* ...fle *
Il semble ravaler quelque chose.

- Non merci, p-p-p-pas d-d-d-de lait. Ça jure avec mon t-t-t-teint.

Squid lance quelques pièces de monnaies sur le comptoir et fait passer le plateau au-dessus de sa tête. Il tourne en rond, analysant le chemin le plus cours entre sa position actuelle et les trois points d'observation les plus stratégiques. Après une réflexion de plusieurs centaines de millisecondes, il opte pour l'option C. Il engage donc son parcours avec sa nouvelle taille de 5'4", tenant fermement le plateau pour éviter de le laisser tomber.

* Renifle *

Il sursaute un instant lorsque tout près de lui, une femme se projette par terre dans un affreux cri lui rappelant ses premières rencontres avec un miroir. Il la dévisage un instant, surpris.

- D-D-D-Dis d-d-d-donc... T-T-T-T'as failli p-p-p-p... Ah p-p-p-pis laisse faire.

* Renifle *

Puis Squid continue son chemin vers la table où il s'était installé quelques minutes plus tôt, sur un pas quelque peu plus hâtif. Il dépose son cabaret sur la table, et ressort son antenne et son napperon de son sac. Après avoir réinstallé tout son matériel, il pianotte sur son napperon tout en regardant vers le plafond.

* Renifle *

Tout à coup, il plonge une main dans son sac et en ressort quelques fils de cuivre, des clous, une lame de rasoir et un petit bloc métallique. Oubliant totalement la scène autour de lui, il se concentre maintenant à enrouler le fil de cuivre autour de quelques pièces métallique qu'il plante dans le citron. Il jette ensuite le bloc métallique dans la tasse de café avec la cuillère.

* Renifle *

Il arrache son bluetooth de son oreille pour en extraire la batterie, sur laquelle il fixe les fils de cuivre reliés au citron. Il prend alors le sucrier et rajoute du sucre dans la tasse. À mesure qu'il rapproche le citron de la tasse, la cuillère commence à se figer et à se déplacer, voire à brasser le café toute seule.

- Hihihihihihihihihihi

* Renifle *

*Kate allais parlé,quand tout de un coup,son amie tombe a terre,semblant ressentir une douleur ennorme.
Elle allais l'aidé a se relevé quand elle le fit de elle meme,elkle se rendit au centre de la piece,et Kate s'excuse a Melisandre,puis emboite el pas de la Tzimisce,arrivant pres de elle,elle lui prend doucement le bras et lui dit*

-Vien avec moi,on va allé dehors quelque instant....

*puis elle tira tout doucement,comme pour l'incité a vennir avec elle*

*Quand elle entendit le cris de la tzimisce,Fianna tourna le regard directement vers la,cherchant la source du probleme,et voit Katarina a genoux,puis qui sen va peu apres dehors avec Kate,elle devin songeuse,puis regarda chacun de ses sujet,mais eux aussi semblait tout aussi intrigué,alors elle remarqua Ophelie avec Philippe,et dit alors*

-Jeune Philippe......vous etes bien accompagné a ce que je vois......qui est la ravissante jeune femme?

Devant l'approche de sa Majesté, Philippe fit une révérence. Bien qu'il ne voulut pas être associé directement à cette femme trop mystérieuse, il sourit néanmoins à la remarque de la souveraine :

- Votre Majesté, il y a longtemps que vous ne nous avez point honoré de votre présence. (Il se retourne vers Mademoiselle Durocher, l'invitant du regard à venir les rejoindre.) J'ai cependant fait la connaissance de cette dame seulement ce soir, alors, j'en sais encore très peu à son sujet. Je suis cependant certain qu'elle se fera un plaisir de se présenter à vous, n'est-ce pas, Mademoiselle ? dit Philippe en regardant la dame en rouge, un sourire en coin.

Ophélie avait retrouvée un calme parfait, elle porta son attention sur la Proince au moment
où celle-ci parla d'elle. Elle laissa Phillipe parler le premier et lui rendit sont sourire à la
réponse de celui-ci. Elle fit une révérence digne de la cour française avant de répondre
d'une vois très douce avec son accent Européen.

Je suis honorée d'être ici ce soir, ainsi que dans cette contrée qui est nouvelle pour moi.
Mademoiselle Du Rocher pour votre service. Il me ferait grand plaisir, Madame de m'entretenir
avec vous dès que vous trouverez le moment opportun. Je tiens seulement à vous préciser de la
présence d'une ghoule sous ma responsabilté dans cet établissement. Si cela vous importune, vous
n'avez qu'un seul mot à dire et elle quittera l'endroit et même la ville.

Ophélie démontrait une grande abitude de se genre de rencontre. Elle semlbait très à l'aise
dans cet environement.

*Fianna observais et ecoutait ophelie,elle avait certe des maniere agreable,elle lui sourie donc et lui dira*

-Demoiselle Du rocher,soyez bienvennue,et il me fera plaisir pour cette fois si,de vous recevoir directement et de discuté avec vous vus votre nouvel presence en mes terres.
Pour ce qui est de votre ghoule,a moin que quelqun ai une raison de si opposé,je crois que les mennaces sont pour le moment assez eloigné pour toleré leur presence parmis nous,a moin que quelqun sois contre?

*elle attendit la reponse des diverse personne*

Vous me faites grand honneurs Madame.

Ophélie ne détourna pas le regard de la Prince pour voir si des personnes s'oppasaient.
Elle souriait d'un air calme et détendue.

Amusé par le spectacle, Franco fronça néanmoins les sourcils lors de la mention de la goule de Mademoiselle Durocher. Il se souvient fort bien de la réaction de la Prince, la dernière fois que quelqu'un avait amené des goules dans l'élysium; ça avait réellement failli mal tourner. Il faillit intervenir pour rappeler ce fait à la Prince, mais il se ravisa, préférant simplement ajouter ces quelques mots :

- Si la goule de Mademoiselle ici présente, respecte nos règles, qu'elle sait à quoi s'en tenir, je n'ai aucune objection, dit Franco en regardant directement Mademoiselle Durocher.

La freddezza était revenue entre temps dans la salle avec Kate. Elle resta silencieuse les bras croisés... Elle réfléchissait. En tant que bonne tzimisce, elle avait toujours eu le plus profond des mépris pour les goules et les humains... Mais sa question était surtout, est-ce que je fais chier la petite nouvelle arrogante... Katarina n'aimait pas particulièrement son attitude hautaine mais elle préféra se taire et éviter la bisbille pour une rare fois. Elle en avait plus que son quota en cette soirée. D'une voix méprisante, elle répondit à la question de la Prince.

- Lady Fianna, vous connaissez mon opinion à propos des humains et des goules... Bien que je crois fortement que ces êtres n'ont aucunement leur place dans un Élysée, si telle est votre décision, alors je m'y plierais malgré ma désapprobation. Toutefois, je crois que cette goule devrait rester au côté de sa maîtresse à sa juste place. À moins que madame Du Rocher nous assure que l'utilité de cette goule est ailleurs et pour quelle raison.

La freddezza se tourna alors vers Dame Du rocher.

- Vous qui semblez avoir l'habitude des soirées mondaines, vous devez sûrement avoir une très bonne raison pour amener une goule dans un Élysée là où elles sont normalement proscrites mis à part celles qui sont possession du maître de l'endroit, en l'occurance notre Prince. Ne soyez pas offensée par mes réserves, mais mon expérience m'a apprise que souvent les goules servent d'excellents espions, surtout dans un Élysée... Voilà pourquoi je préfère dans de tels cas les avoir face à moi et non autrepart dans l'ignorance de tous.

Les yeux de la tzimisce étaient empreints de neutralité... Ni haine, ni colère, ni joie ou satisfaction. Seulement de la prudence....

Le visage de Philippe s'assombrit, jusqu'à faire disparaître toute trace de compassion ou de gentillesse. Son regard devint insensible et son sourire avait disparu. Un souvenir pour le moins douloureux refit surface l'espace d'un instant et ce fut suffisant...
Il tourna un moment les yeux vers Franco, qui le dévisagea à son tour. La voix qui sortit de la bouche de Philippe s'était déshumanisé en l'espace de quelques secondes :

- Si je puis me permettre, votre Majesté, les goules peuvent aussi être des cibles indéales pour les ennemis, qui pourraient nous en vouloir, ou en vouloir à Mademoiselle Durocher...ou pire encore, en faire des vampires, simplement pour se venger.

Philippe recula de quelques pas, abaissa son regard tout en faisant une courte révérence à la Prince.

- Ne voyez point mon intervention comme étant déplacée, votre Majesté, je tenais simplement à émettre une réticence, qui, je le crois, pourrait être pertinente.

*Fianna ecouta les propos de chacun,et acquiesca a certain,puis elle dira*

-Je suis d'accord pour le fait que la ghoule demeure au coté serré de sa maitresse pour ce soir,et ce que dit le jeune Philippe ici present a aussi du bon et ma ramennéa la memoire certaine chose,donc,la ghoule pourra resté pour ce soir,mais a la fin de cette soiré,sa memoire devra etre effacé sur tout ce qui conscerne cette soiré,jentend par la,l'emplacement de cet endroit et le fait que c'est notre lieue de reunion.
Ceci etant une mesure de securité,vue que la situation a deja été problematique,Demoisele Durocher......vous devrez vous pliez a cette ordre,je ne peut permettre le moindre ecart de securité,jespere que vous comprendrez,et cela vaut pour tous,apres ce soir,aucune ghoule quelle quel sois sera toleré a nos assemblé,a moin de cas de force majeure exclusivement!!!

*Elle attendit la reaction de ses sujets*

Ophélie avait garder un air calme, nul en pouvait savoir ce qui se passait dans sa tête.
Elle écouta la réponse de Franco et s'aprêtait à répondre lorsque La fresddezza fit son
entrée. En entandant ses commentaires, le sourire d'Ophélie s'agrandit quelque peut.
Puis ce fut au tour de Phillipe de mettre son grain de sel.... Ophélie se retourna vers la Prince.

Veuillez me pardonner Madame, mais je crois que certaines personnes m'on mal comprise. Je n'ai
en aucun cas dit que cette goule se trouvait dans l'Élysé, elle est dans la chambre que je me suis
réservée dans cet hôtel et n'est en aucun cas au courant des détails de cette réunion et n'a
pas la permission d'y mettre les pieds. Je suis sincèrement désolée du malentendu que cela ai
pu causer.

Puis se tournant vers la Freddezza, elle lui répondit d'une vois douce avec son acent européen.

J'espère que cette nouvelle calmera vos craintes. Je n'escomptais pas créer de malentendus...

Ophélie attardat son regard sur la femme avant de revenir vers la Prince attendant sa réponse.

Philippe s'était mis à l'écart du groupe, fuyant le regard de quiconque, même des âmes les mieux intentionnées. Ce souvenir amer ne fit rien pour le réjouir et la réaction de Mademoiselle Durocher le fit sourciller...

Certes, les goules pouvaient être un atout de taille pour un vampire, mais elles peuvent aussi être une lame à double tranchant. L

Le jeune caïnite se retourna, l'espace d'un instant et vint pour ajouter une parole, mais il constata que ce sera superflu et inapproprié. Il dévisagea cependant Mademoiselle Durocher d'un air froid et détaché et vint se placer près de son mentor, sans jamais rien perdre de ce qui se passait.