Red Lounge - première soirée

Rien qui ne change mes plans pour cette soirée, merci. Pour en revenir à
notre converstation... vous sembler très proche de Franco. Je crois comprendre
que vous l'admiré.

Ophélie gardait un sourire aux lèvres. En attendant la réponse de Phillipe,
elle jetta un coupe d'oeil sur la femme vêtue de cuir. Cuirieux accouteremment
pour une rencontre officiel avec les dirigeants de cette ville... mais peut-être
avait-elle de bon amis parmis ceux-ci... Ophélie en profita pour lancer un rapide
coupe d'oeil à David quand sont regard fut porté sur Squid qui demandait à boire.

Pendant un instant, Philippe se plongea dans ses souvenirs et se remémora avec plaisir sa première rencontre avec Franco, une rencontre qui allait changer sa vie pour toujours. Il appuya son visage sur son poing, regardant son ancien régnant par-dessus la rembarde. A ce même moment, Franco leva les yeux vers lui, baissant momentanément ses lunettes. Cette fois encore, les deux hommes se comprirent sans avoir à se parler.

- Admiration ? Assurément ! Il m'a appris la plupart des choses que je sais aujourd'hui et continue d'en apprendre lui-même chaque jour...

Philippe se retenait de ne pas trop en dire à cette inconnue qui n'avait pas voulu lui révéler son nom. Il se retourna à son tour vers le gardien des élysées.

- Dites-moi, vous vous connaissez ?

De nouveau auprès de son époux, Jacky posa son verre sur la table, se demandant encore pourquoi elle l'avait commandé. Sans doute pour satisfaire à une quelconque nostalgie de ce que les mortels appelaient alcool. Jacky ne put s'empêcher de remarquer que son époux avait levé les yeux vers Philippe. Son attention revint rapidement vers sa bien-aimée, qui s'était à nouveau calé au creux de son épaule. Ils étaient à une bonne distance des autres tables, désireux d'avoir un peu d'intimité.

- Je voulais te dire, mon sire m'a appelé pendant que j'étais...indisposée. Il me disait qu'une femme était passée à sa cour et qu'elle était à ta recherche. Elle prétendait être ta mère mortelle, dit Jacky à voix basse.

Mélisandre regarda Kate un moment.

- Ah! bon! je vois le genre, maintenant.

Puis, elle se pencha pour ajouter sur le ton de la confidance.

- Vous savez... autant j'ignore le problème qui vous indispose, autant vous ignorez les possibilités que j'ai à offrir pour vous aider, en soi.
Il est pourtant toujours plus facile de chercher une solution à un problème qu'un problème à un évantail de solutions évasives.

Puis elle se recule sur la chaise regardant toujours Kate, l'air curieuse.









David, le gardien, réagit à l'appel de Squid. Il se leva et se dirigea vers lui avec un visage sans expression.

- Monsieur, j'ai le regret de vous annoncer qu'étant donné la nature de notre rencontre de ce soir, nous fonctionnons à personnel restreint. Le service aux tables n'est donc pas disponible. C'est pourquoi, si vous n'avez pas trouvé de quoi vous sustenter avant de vous présenter en élysée, ou si, par une nostalgie douteuse, vous aimez les substances liquides qu'on sert aux humains, vous êtes bienvenu au comptoir pour commander vous même votre caprice.

Il lui fit un sourire courtois et attendit.

D'abord amusé par les propos de Jacky, Franco se retourna vers elle, ne pouvant réprimer un rire, qui se prolonga pendant quelques instants, sans pour autant déranger les autres convives. Il déposa un baiser sur le front de Jacky puis lui répondit :

- Voyons, amore, une Kindred prétendant être ma mère mortelle...C'est du délire. Avec tout le respect que je dois à ton sire, je pense qu'il a voulu se jouer de toi, ma belle.

Ophélie suivit le regad de Phillipe pour voir qu'il parlait de David. Elle le regarda justement
se diriger vers Squid. Elle eu un léger sourire avant de répondre à Phillipe.

Je le connais autant que je vous connais monsieur Devreaux. Ceci est ma première nuit
en cette ville... mais aucunement la dernière.

J'espère même y trouver tout ce d'on j'ai besoin...

Elle avait dit ces dernières paroles d'une voix très basse, presque innaudible.

Philippe semblait de plus en plus perplexe face aux réels intentions de cette femme. Néanmoins, il décida de demeurer charmant, même s'il avait cette cruelle impression de perdre son temps.

- Et vous êtes ici par affaires ou par plaisir, chère dame ?

Il avait espérance de ne pas avoir une parabole pour réponse, une fois de plus. Les femmes changaient-elles à ce point une fois devenues immortelles ? Perdaient-elles toute saveur ?

Jacky se releva brusquement de l'épaule de son mari, le dévisageant d'un air mécontent. Elle lui enleva ses lunettes du visage pour les poser sur la table.

- Penses-tu réellement que mon sire m'aurait appelé si ça n'avait pas été important ? Si cette femme n'avait pas eu des preuves qu'elle est bien...ta mère ? dit-elle toujours à voix basse.

Ces dernières paroles sonnèrent drôlement dans la tête de Jacky, le souvenir de sa propre mère étant si lointain, elle ne pouvait elle même concevoir l'idée que son époux ait encore sa mère mortelle.

Ni pour l'un ni pour l'autre.... Où plutôt, un peut des deux. Je suis venue m'intaller
à long terme dans cette ville. J'attends seulement d'être présenté au Prince et d'avoir
sa permission de résider à Québec. Je dois dire que j'espère continuer mes affaires d'ici.
Cela dépends encore de la décision du dirigeant de cette endroit. Mais je garde bon espoire.

Le sourire d'Ophélie disparut un instant, elle semblait se rappeller un détail qui changeait
le cours de ses pensées.

Bertha regarde squid, l'air perplexe.

- Tu vas pas m'faire croire que t'aime vrament ça, le rat! Tab... Non laisse faire...

Elle prend son verre et se dirige vers une table où elle serait seule, avec le loisir d'observer à distance.

















La porte ouvre sur un homme à l'attitude décontractée qui attire l'attention facilement. Il sourit avec générosité et salue la sénéchale d'un baise main.

- Sénéchale, quelle grâce vous émanez ce soir! Vous être tout-à-fait splen-di-de!

Il se relève et plonge son regard dans le celui de Pénélope un moment, paraissant ébahi par sa beauté.
Puis il balaie le lounge du regard, s'attardant particulièrement sur Mélisandre et Ophélie.

- Oh! On dirait que nous avons de magnifiques nouveaux visages à côtoyer ici!

Il se tourne vers Pénélope.

- Qui vous rendent hommage, à n'en point douter.

Il se dirige vers Mélisandre, et, en passant à côté de La Fredezza, un frisson semble parcourir son échine. Il tourne les yeux vers elle puis, fait quelques pas plus rapides pour s'éloigner de cette proximité désagréable vers la table de Kate et Mélisandre.

- Bonsoir, Mesdame! Simon Harvey. Enchanté de vous compter parmi nous ce soir!

Il fixe plus longuement Mélisandre

- Un plaisir, vraiment.






















Mélisandre ne répond pas, elle s'adosse pour mieux le regarder et esquisse un sourire en coin.

À l'entrée de Simon, Ophélie ne peut s'empêcher de suivre ses déplacements.
Elle le regarde dire bonjour à Pénéloppe de façons courtoise et quand leurs
yeux se croise, elle ne détourne pas le regard. Elle le salue d'une révérence
de la tête. Puis elle reporte son attention sur Phillipe.

Et vous, vous êtes ici en affaires ou simplement pour profiter de la non-vie?

Elle avait ditte ses dernières paroles avec un sourire.

Le barman regarde Squid, incertain de la requête. Il secoue la tête pour indiquer qu'il n'a pas de ce qu'il demande, puis hausse les épaules. Ne sachant trop comment satisfaire des goûts aussi... infects.

Philippe suivit lui aussi des yeux l'arrivée de Simon Harvey, autre représentant typique du clan de la rose, se pavanant comme un paon devant ces dames. Puis, il reporta son attention vers Mademoiselle Du Rocher.

- Je suis ici, pour le plaisir, le devoir et...les affaires. Disons que ma tâche de député auprès du Shérif me demande beaucoup de temps alors, j'ai moins le temps pour le plaisir. Les affaires ? Je ne tiens pas à élaborer sur le sujet. Nous avons tous notre jardin secret, n'est-ce pas ?

Bien qu'il s'ennuyait dans cette soirée sans artifice aucun, Philippe essayait de tirer profit de chaque moment. Il n'était pas habitué à rester trop longtemps au même endroit. Bien que les jolies dames abondaient, aucune ne semblait réellement se démarquer du lot.

*Kate accorda un regard au pretentieux gars qui s'ammusais a dragué toute la gente feminine a porté,elle roula presque des yeux et repris sa discution avec Melisandre*

-Avez vous de tres tres bonne connaissance occulte et un talent pour le combat assez elevé dite moi? si c'est le cas,vous devriez ecoutez quand je vais faire part de ce probleme derangeant a la senechale et a la prince a son arrivé,et peut etre que la vous pourrez m'aidez.

*Puis la porte s'ouvre,pour laissez passé la Prince de la ville,qui ne devais pas arrivé si tot,mais du a certain element,la voila.
Elle a été assez peu vue durant ces derniere année dans al ville,mais chose sur,les chose avait avancé.
La ville avait grossie,et deja devant ses yeux,de jeune habitant de la cité etait present,cela fesais different de voila 10 ans.
Elle marcha quelque peu vers le Barman qui vint expresso a sa rencontre,et l'aida a retiré son manteau,et prendre ses effet*

-Bonsoir madame,ravissante comme toujours,puije vous servir quelque chose?

*Fianna se laissant debarassé,lui dit*

-Comme d'habitude je te prie

*il reponditr*

-tout de suite

*puis il alla vers larriere boutique porté les affaire de fianna,sans doute dans un bureau,alors que la dite Fianna,reposa les yeux sur lensemble de la salle,car selon un telephonne que elle a eu,il y aurais eu de petite perturbation*

Momentanément perdu dans ses pensées, le Shérif tripotait l'alliance qu'il portait à la main gauche; l'alliance que son père lui avait donnée quelques siècles plus tôt. Beaucoup de choses le préoccupaient; trop de choses...Il se tourna vers Jacky, qui lui envoya un sourire; le genre de sourire qui donne espoir que tout va s'arranger.

Puis, ce fut l'arrivée impromptue de la Prince qui le sortit de ses pensées. Il remit ses lunettes noires sur son nez, tendit la main à sa bien-aimée et le couple marcha pour aller à la rencontre de la Prince. Franco la salua d'un léger signe de tête :

- Madame...Toujours un plaisir de vous voir

*elle tourna le regard vers Franco et Jacky,qui au moin daignais remarqué sapresence,elle leur sourie*

-Monsieur Carrera et dame Fermosa,ravie de vous voir,et en bonne santé,il fait toujours agreable d'avoir un acceuil comme vous le faite tres cher.
J'ai eu des echo de votre bon travaille jusqua moi durant ces dernieres années,et parfois je fut assez loin,continuez comme ca Messire Franco.

*puis un regard a Jacky,elle lui sourie*

-Jacky,tres cher amie......je suis egalement heureuse que vous soyez encore parmis nous,je savais bien,que vous seriez la pour aidez mon Infante et senechale durant tout ce temp,pardonnez mon innacessibilité durant ces années,mais ma presence ici etait surchargé.
Jai aussi de ce fait,été de passage dans la cité de votre sire,qui n'a parlé que en bien de vous......et c'est souvent enquerie de comment vous alliez.

Jacky ne put s'empêcher de rire doucement."Plus ça change, plus c'est pareil." se dit-elle en pensant à son sire. Elle rendit un sourire radieux à Lady Fianna :

- Merci pour les compliments, Madame. Mais Mademoiselle Pénélope accomplit sa tâche avec brio, il va sans dire. Nous essayons d'être présents le plus possible. Alors, vous avez parlé à mon sire...Avec tout ce qui se passe en Europe. Nous sommes encore inquiets du sort de nos compagnons de coterie. Peut-être par le plus grand des hasards auriez-vous eu des nouvelles ?

-Je crain que non mon amie......bien que jai tenté,je nai rien reussie a savoir.
Mon attention aussi etait fortement attiré ailleur,sans vouloir vous offensé tres cher,il y a bien plus grave comme situation que la perte de vos amis croyez moi,mais leur disparition est sans aucun doute relié a ce qui se passe la bas.
Je vous ferais part de certaine chose en privé plus tard si vous le voulez bien.

Jacky baissa les yeux un moment et tenta de ne rien laisser paraître de sa tristesse. Aucune nouvelle depuis dix ans et pourtant, elle espérait revoir tous ses compagnons vivants.

- Oui, vous avez sans doute raison, Madame. Nous avons des choses plus...importantes sur lesquelles nous devons nous concentrer pour le moment. Si nous pouvons vous aider sur quoique ce soit, vous savez que vous pouvez toujours compter sur nous, Majesté.

La Brujah regarda un moment autour d'elle, et tous ces regards lui semblaient soudain si vides. Elle serra doucement la main de Franco dans la sienne, la tête bien lourde de tous ces soucis. Elle essaya tant bien que mal de ne point laisser paraître son désarroi. Elle changea rapidement de sujet :

- Comment est la situation en Europe présentement ? La Camarilla a-t-elle pris position face au conflit en cours ?

Squid regarde le barman, clairement déçu par la négativité de sa réponse.
* Renilfe *
Il monte sur la pointe des pieds, histoire d'avoir un semblant d'apperçu de ce qu'il peut bien y avoir derrière le bar. Soudain son visage s'éclairçit, comme frappé d'un éclair de génie.
* Renifle *

- C'est b-b-b-bin d-d-d-d'valeur. C'est p-p-p-pourtant un grand c-c-c-cru. D'ab-b-b-bord ça va être un b-b-b-bon café b-b-b-bin ép-p-p-paissi avec du sucre...

* Renifle *

- ... t-t-t-tsé comme qu-qu-qu-quand la c-c-c-cuillère t-t-t-tient t-t-t-tu seule.

Il jette quelques regards aux alentours, voir si quelqu'un semble s'intéresser à sa commande aussi hors du commun lorsqu'il apperçoit la prince arriver dans sa direction.. vers lui... elle vient le voir lui... Un sourire se tatoue sur son visage. Il regarde le barman oublier sa commande pour répondre aux petits besoins de sa majesté.

- M-M-M-M-M-M-Majest-t-t-t-t-t-t-t-té, dit-il en s'inclinant en-dessous de 4 pieds. V-V-V-V-V-Vous êt-t-t-t-t-t-t-t-t-tes resp-p-p... Resp-p-p-p-p... T-T-T-T-Très b-b-b-b-b-b-belle.

* Renifle *
Il porte la main à son front comme pour mimer un salut militaire.

- T-T-T-T-T-Toujours à vot' service ma P-P-P-P-P-P-Prince.

* Renifle *
Il reste à l'affût d'une éventuelle réponse de sa seigneurie lorsque le barman revient. Il l'interpelle en levant le bras, question d'avoir plus de visibilité.

- Hey, Oub-b-b-blie moi p-p-p-pas. C'est p-p-p-parce que j'p-p-p-pense que j'manque d-d-d-d'énergie.

Il continue de renifler en attendant sa tasse.

- Ah p-p-p-pis un d-d-d-demi cit-t-t-tron aussi.

Bien qu'il fut momentanément attristé par la disparition de son sire, Franco ne broncha pas. Il ressentit cependant le chagrin de sa compagne jusque dans son propre sang...

Et cette nouvelle étrange provenant de Draconius de la Rosa. Cette femme qui cherchait Franco ne pouvait être rien d'autre qu'une imposture ambulante, puisque Draconius se plaisait à se jouer de lui, et ce, depuis les cinq derniers siècles.

Franco leva les yeux vers Philippe, qui essayait tant bien que mal de faire connaissance avec la dame en rouge. Soudain, une idée traversa l'esprit du Ventrue :

- Majesté, si vous voulez bien m'excuser un moment, dit Franco en s'inclinant.

Il marcha vers un coin plus reculé, un sourire en coin. Il prit son cellulaire et envoya un message texte, s'assura qu'il avait bien été reçu puis revint vers ces dames.

- Pardon pour cette interruption...Nous aurons la chance de rencontrer de nouveaux visages, ce soir...En espérant qu'ils amènent des éléments constructifs à cette Camarilla.

Franco passa le bras autour de la taille de son épouse, tout en lui chuchotant quelque chose à l'oreille.

Du haut de la mezzanine, Philippe observa le mouvement des vampires comme si c'eut été une pièce de théâtre. Puis, la Dame de coeur arriva, la Prince en personne, dans toute sa splendeur. Il ne fut point surpris de voir le couple d'anciens aller saluer cette dernière.

Puis, quelques instants après, Philippe ressentit une vibration à sa ceinture. Il envoya un sourire à Mademoiselle Durocher :

- Si vous voulez bien m'excuser un instant, un appel...

Philippe s'éloigna de quelques pas pour répondre, le message le fit sourire. Il fixa son cellulaire un instant, le remit à sa ceinture avant de revenir vers la dame.

- Je suis désolé de cette interruption, chère dame. Monsieur le Prévôt me demande si nous voudrions nous joindre à lui et à sa compagne. Vous pourriez de ce fait rencontrer sa Majesté, qui vient tout juste d'arriver, dit Philippe en faisant une légère révérence.